8 mai 2024

L’URGENCE DE L’ÉVANGÉLISATION  :

Dieu notre Créateur veut que nous réalisions le danger qu’il y a d’aller en Enfer, et que nous nous tournons vers Jésus-Christ le Messie et le seul Sauveur du monde avant qu’il ne soit éternellement trop tard. Jésus seul nous amène au Paradis. De nombreuses personnes meurent tous les jours dans le monde, et plus de la majorité d’entre elles ne sont pas sauvées.
Beaucoup sont appelés au salut, mais trop peu le reçoivent volontairement. Beaucoup de personnes meurent, mais trop peu d’entre eux sont sauvées. Et ces personnes où vont-elles après la mort ?
Chaque être humain qui meure s’acheminent sans retour vers une des deux destinés finales qu’est l’Enfer ou le Paradis ; et cela sans aucune possibilité de quitter l’un de ces endroits pour l’autre. Oui, le Ciel (le Paradis) et l’Enfer sont deux endroits bien réels. Au Ciel règne la paix, le bonheur et l’amour infinis dans la présence glorieuse de Dieu avec les anges et tous les saints ; et en Enfer règne la sainte Colère du Dieu Tout-Puissant, dans la fournaise de feu et de soufre, lieu de torture et de grands tourments.

Pour ceux qui ne reçoivent pas Jésus, l’Enfer est un lieu réel qui est terrifiant. Ceux qui sont dans le séjours des morts et qui seront en Enfer à la fin des temps sont dans une fosse sans fin où ils chutent sans cesse. En Enfer il n’y a pas de stabilité, ni de fondation. Il n’y a pas de place pour se tenir, ni pour s’asseoir, ni pour se coucher. Pour les horribles souffrances qu’on y subi, il n’y a pas de repos jour et nuit. C’est un endroit horrible
Oui, l’Enfer est une endroit éternel d’obscurité et de tourments sans repos. En Enfer, il n’y a que du RIEN INFINI accentué pour la douleur atroce qui y existe.
Après la mort, il est trop tard pour la repentance, trop tard pour les bonnes actions. Trop tard pour croire en Jésus, pour le recevoir, trop tard pour se réconcilier avec Dieu, trop tard pour être sauvé. Après la mort vient le jugement (Hébreux 9. 27), et il n’y a plus de rachat possible.

Ne pas évangéliser, c’est donc refuser de donner à des personnes qui peuvent être sauvées, la possibilité de l’être. C’est les livrer au destin tragique de l’éternité sans Dieu. C’est participer à la condamnation de tous ceux aqui ont été sur notre route. Oui, c’est bien cela ! « participer à leur condamnation ». Disons les choses telles qu’elles sont. Ne savons-nous pas que Celui donc qui sait faire ce qui est bien, et qui ne le fait pas commet un péché ? (Jacques 4. 17).
Nous sommes heureux à l’idée de savoir que nous sommes sauvés et que nous ne brûleront pas dans le feu de l’Enfer ; et heureux qu’on nous ait présenté L’Évangile qui nous a sauvé. Ne pas évangéliser, c’est donc faire preuve d’ingratitude vis-à-vis de la grâce que nous avons reçue en Jésus.

Évangéliser, c’est la mission suprême que Jésus nous a laissée. C’est aussi le sens de notre chrétienneté, de notre salut et de notre vie sur terre.
C’est pour sauver le monde que Dieu a donné ce qu’il avait de plus cher : Son Fils unique, Jésus-Christ.
L’unique objectif du sacrifice de Jésus et le seul but de Dieu en offrant Jésus pour l’expiation des péchés, c’est le salut des êtres humains. Son unique motivation, c’est L’AMOUR (Voir Jean 3. 16).
Jean- Baptiste a dit au sujet de Jésus : « Voici l’Agneau de Dieu, qui ôte le péché du monde » (Jean 1. 30). Dieu s’est donné Lui-même en la Personne de son Fils Jésus. Dieu a fait retomber nos opprobres sur Jésus qui a pris à son compte nos iniquités et qui a accepté la mort pour nous rendre la vie.

Voilà pourquoi Jésus a payé le prix inestimable de nos péchés pour que les êtres humains qui croient soient rachetés. Et à quel prix ? Au prix infiniment élevé. Ne négligeons pas un sacrifice d’une valeur aussi inestimable. Jésus a fait sa part, nous laissant le soin de faire la nôtre : Poursuivre son action en prêchant l‘Amour et la grâce de Dieu, la repentance, le pardon des péchés, la vie éternelle. Nous sommes le corps de Christ. Dieu a besoin de nous pour gagner le monde à Lui. Son Saint-Esprit est en nous pour nous aider et nous fortifier. Nous sommes l’Eglise, « appui et colonne de la vérité », « Lumière, sel de la terre ». Si le sel perd sa saveur avec quoi la lui rendra-t-on ? (Matthieu 5. 13). Si nous ne prêchons pas, qui le fera ?
La Bible nous rappelle que le jour est avancé, que les temps sont mauvais et sont comptés, que le jour du Seigneur est proche. Oui Jésus bientôt.

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